supported by 6 fans who also own “The Fire Consumes”
De l'action de descendre sciemment vers le néant au constat simple, lancé dans un dernier soupir, comme si on était mis devant le fait accompli : There is no beauty left here...
Mais contre toute attente, ce chant du cygne d'Exiled from Light n'est pas une acceptation résignée de la mort. Mort (je parle de l'artiste) est animé de l'énergie du désespoir, cette énergie qui fait accomplir des choses extraordinaires quand tout est perdu et ça rend son DSBM très beau, paradoxalement. Indispensable !! Jordan Vauvert
supported by 5 fans who also own “The Fire Consumes”
Besonders liebe ich den Gesang.
Die Musik wirkt für mich häufig nur wie Hintergrund/ Untermalung.
Lautmalerei sozusagen.
Die Musik ist toll, um nicht mißverstanden zu werden.
Aber eben irgendwie doch bloß Kanvas. ralfi
supported by 4 fans who also own “The Fire Consumes”
Ice cold black metal with riffs that will certainly get you frosty even in the summer. Plenty of potential and they are definitely an artist I'll keep my eye on. brandonp504
supported by 4 fans who also own “The Fire Consumes”
Faire passer le black par un équipement daté pour rendre le son brut de décoffrage, j'ai longtemps pensé que c'était Staurophagia le maître en la matière mais Obsidian Tongue l'a fait avant lui et tout aussi bien dans son premier opus, Volume I: Subradiant Architecture. On se retrouve ainsi avec un black metal qui rend hommage à l'école norvégienne, entre poésie ésotérique ("Approaching the Well", "It Dangles from the Bones") et guitares furieuses, mais il est aussi très moderne. Un bon album ! Jordan Vauvert